Nous sommes enfin à l'eau! Et ce n'est pas trop tôt mais que voulez-vous, avec l'année scolaire, le travail et la routine, il n'est pas toujours facile de trouver le temps nécessaire à la préparation du bateau pour la saison de navigation. Mais nous y sommes arrivés et c'est le 5 juillet dernier que nous avions réservé pour mettre le bateau à l'eau à la marina Gosselin.




En arrivant sur place, nous avons tout de suite remarqué que le niveau d'eau semblait anormalement haut pour un début du mois de juillet. Le Richelieu empiétait un peu dans le stationnement de la marina et on ne voit habituellement ça qu'au printemps... Le niveau d'eau officiel indiquait 99.5 pieds, ce qui, sur papier, laissait une hauteur libre sous le pont de Noyan de 56 pieds. Pusique notre tirant d'air est techniquement  de 55 pieds, nous n'étions plus certains de vouloir nous rendre au lac Champlain en prenant la chance d'accrocher le pont avec notre mat.

Sébastien, une des perles d'employé de chez Gosselin, nous informa alors que "l'autre Sébastien" (sur Maya X) prévoyait faire passer deux bateaux le lendemain en les faisant giter! Il nous invita à voir avec lui si il pouvait nous faire passer en même temps. Hmmmm, nous avions déjà entendu parlé de la technique mais étions plutôt heureux de n'avoir jamais eu à y recourir. Accablés pas la chaleur torride de l'après-midi, c'est dans la piscine que nous avons réfléchi à la question...

Visite de la marina Gaines nouvellement rénovée, la veille de notre arrivée en bateau.

Désireux de passer nous installer au mooring que nous avions réservé chez Gaines, nous avons donc décidé d'aller de l'avant avec la suggestion de faire giter le bateau. Nous sommes allés rencontrer Sébastien qui nous a tout de suite rassurés par sa confiance acquise en pratiquant la dite méthode à plusieurs reprises. Il allait également aider l'équipage de Côte à Côte à passer.

La technique est bien simple. Une simple amarre attachée au rail (ou a un taquet) du bateau "tracteur" est liée à une drisse ou a un autre cordage qui va jusqu'en tête de mat du bateau à faire giter. Ça semble facile comme ça mais la pratique que nous avons faite avant de passer le premier pont nous a tout de même impressionné à cause du degré de gite que nous avons atteint. Mais il n'y avait là effectivement rien de compliqué et il n'a suffit qu'à garder notre cap alors que Maya X s'éloignait de nous, entraînant notre mat vers le bas et les émotions de tout l'équipage vers le haut!

Côte à Côte et Maya X en pleine action!

Sébastien nous a attendu alors que nous passions aux douanes afin de nous permettre de passer sous le deuxième pont. Bien que celui-ci offrait plus d'espace, nous n'avons pas pris de chance. Nous avons alors pu nous accrocher au mooring chez Gaines, situés juste de l'autre côté de la frontière, à Rouses Point.




La vue à partir de notre mooring chez Gaines.

Nous avons terminé ce weekend par une belle journée de voile tranquille où nous avons simplement navigué en direction de l'île La Motte avec des vents juste assez forts pour nous permettre d'avancer. Mais quel plaisir de renouer avec la voile!








Le weekend suivant, Philippe avait pris vendredi et lundi de congé afin d'étirer un peu le temps. Nous devions y recevoir les parents de Annie et, durant les jours précédents, nous avions contacté l'équipage de Don Quillechotte que nous savions revenus de leur deuxième année de voyage. Nous leur avons donc donné rendez-vous à leur marina afin de partager avec eux, comme lors de notre voyage, un petit souper communautaire et jaser des aventures qu'ils avaient vécu durant le reste de leur voyage.
Martin et Annie discutent de... voyage, qu'est-ce que vous croyez!
Juliette et Gab s'amusent dans la piscine de la marina de Gilbert Brooks, comme si elles s'étaient vues la veille.
On s'empresse de retourner à bord de Don Quillechotte avant que ne tombe l'orage!
Nous nous sommes finalement faits rattrapés par l'orage. C'est la fameuse tempête de début juillet qui laissa plusieurs abonnés d'Hydro-Québec sans électricité pendant quelques jours.

Les enfants ont eux aussi eu l'occasion de renouer et nous avons beaucoup aimé revoir nos amis à qui nous souhaitons une réintégration douce et graduelle à la vie de terrestres!

Puis ce fût au tour de grand-papa et grand-maman d'embarquer à bord de Larose des Vents V pour une petite sortie, nuit à bord incluse, jusqu'à Threadwell Bay. Nous avons passé de très beaux moments avec eux et la seule ombre au tableau de ces deux belles journées est qu'il n'y a pas eu assez de vent pour combler grand-papa qui aurait apprécié un peu plus d'action. Ce n'est que partie remise!








Le récit de nos vacances suit sous peu...

C'est ce qu'on pourrait penser qui arrive avec l'arrivée des beaux jours.


Ceux qui nous ont suivis savent qu'au retour de notre voyage de un an dans le sud, nous avions annoncé Larose des Vents V à vendre. La réalité étant que, puisque nous avions vendu notre maison pour acheter le bateau et partir en voyage, nous pensions sincèrement que la chose logique à faire au retour serait de revendre ce dernier. Mais ne trouvant aucun acheteur, nous avons bien dû nous réinstaller et nous avons finalement acheté une maison un peu plus petite que notre dernière.

Donc, comme vous l'aurez compris, l'hiver a passé et a donné suite au printemps qui nous a forcé à nous demander ce que nous allions faire du bateau cet été : devions-nous essayer de le vendre à nouveau ou nous organiser pour une nouvelle saison de voile? Évidemment, la neige fondante et le soleil jouaient de leurs charmes dans l'esprit des membres de la famille, tous étaient excités à l'idée de naviguer à nouveau cette année. Nous avons donc fait des démarches pour trouver un port d'attache et, dernièrement, nous avons commencé à préparer le bateau pour un autre bel été.

Nous y sommes retournés en fin de semaine pour y passer un peu de temps et pour y faire quelques travaux.


Même si ce n'est pas aussi bucolique que de jeter l'ancre dans une petite baie tranquille, c'est toujours agréable de retourner à la marina où est entreposé le bateau et se replonger dans cet univers si particulier. De voir tout le monde affairé autour de son embarcation est très inspirant et les rencontres y sont toujours aussi agréables. Nous avons justement fait connaissance avec l'équipage de Oséo qui nous avaient suivis via le blogue durant notre voyage et qui se préparent à partir à leur tour, plus tard cet été. Nous saluons également Allan et Chantal du voilier Wellge qui nous ont reconnu lorsque Philippe est allé leur poser une question (ils ont le même bateau que nous).

De plus, nous avons initié le nouveau membre de notre famille à cet environnement qui lui était, jusqu'alors, totalement inconnu. Nous étions d'ailleurs assez confiants qu'il n'oserait pas sauter du pont jusqu'au sol mais avions omis de penser au fait que les bateaux sont souvent si rapprochés dans les cours, que le passage d'un bateau à son voisin était un vrai jeu d'enfant pour un félin en mode "exploration". Il a donc eu bien du plaisir à se balader sous le regard horrifié des enfants qui se demandaient comment nous ferions pour le récupérer!




Nous avons été heureux de constater que le bateau avait bien passé l'hiver. Quelques travaux sont à prévoir et nous avons tôt fait de procéder à l'ouverture des systèmes en bonne et due forme (plomberie, moteur, etc). Il reste à prévoir quelques tâches (peinture anti-salissures, remplacement de quelques petites choses) mais rien de majeur ne pointe pour l'instant. Nos voiles ainsi que le bimini et le dodger sont également en train d'être révisés puisque cela n'avait pas été fait depuis notre retour et que quelques petites corrections s'imposaient. Les voiles sont chez voiles Atlantis et nous avons hâte de les récupérer.

Côté surprise, nous n'avons pas aimé de voir que le ber avait un peu déformé la coque. La chose est particulière puisque Philippe, qui avait magasiné des voiliers avec un ami dernièrement, en avait vu un qui affichait un problème similaire et relevé ce détail auprès de son ami. Mais après avoir consulté plusieurs personnes, nous avons constaté que le phénomène n'était pas nécessairement grave et qu'il était même assez courant. Quelques personnes nous ont confirmé que la chose leur était déjà arrivée et que tout était rentré dans l'ordre quand le bateau était retourné à l'eau.


Dans notre cas, le bateau semble avoir été déposé un peu "croche" sur son ber et des pattes mal ajustées auraient provoqué la chose. Peut-être que d'avoir passé l'été dernier en cale-sèche n'aura pas aidé non plus. Nous vous dirons, lors de la prochaine sortie de l'eau du bateau, si tout s'est bel et bien replacé. Mais en attendant, rien ne sert de s'inquiéter avec des "bébittes" qui n'en sont pas toujours et nous avons hâte de profiter d'un petit après-midi de relaxation au soleil sur le pont!



À bientôt!

Déjà en commençant, je trouve cela péjoratif de parler de la vie de terrien en faisant référence à la vie "normale". La vie des navigateurs est, elle aussi, tout ce qu'il y a de plus normale à plusieurs égards. Mais il faut admettre qu'il y a davantage de terriens que de navigateurs alors, dans cette optique, nous sommes revenus à la vie normale.


Le retour s'est fait progressivement et ce, dès le lendemain de notre arrivée à la marina. N'ayant plus de maison, nous avons élu domicile chez la mère de Philippe durant environ deux mois puis passé encore 2 semaines chez des amis avant de finalement emménagé dans une maison que nous avons achetée à Prévost, dans les Laurentides. L'école a commencé à peine quelques jours plus tard et les trois enfants ont chacun intégré une classe différente, après 2 ans d'école-maison! Et vous savez quoi? Ils apprécient le retour en classe à 100%! Au niveau académique, non seulement n'ont-ils pas de retard mais je dirais même qu'ils ont, pour l'instant en tout cas, de la facilité avec le niveau où ils ont repris. Je dis cela non pas pour vanter leur grannnnnnde intelligence mais pour rassurer ceux qui hésiteraient à se lancer dans une aventure semblable de peur de voir leurs enfants prendre du retard. Certes, cela demande une bonne planification et un suivi sérieux des études mais je crois que cela demeure à la portée de plusieurs parents.

Et justement, du côté des parents, et bien c'est le retour aux occupations habituelles. Annie a changé de commission scolaire alors le retour est progressif et Philippe a repris le travail (et se permet, comme en ce moment, de rédiger pour vous un compte-rendu de la situation ;-)

Nous n'avons pas navigué cet été et nous ne sommes pas souvent retournés au bateau mais nous avons au moins pris la peine de lui faire un bon nettoyage. À l'heure actuelle, les systèmes principaux sont hivernisés mais il me reste encore à le couvrir pour l'hiver. C'était si simple l'année dernière... aucun flocon de neige aux Bahamas!




Il est toujours à vendre et nous l'avons fait visité à quelques reprises mais nous commençons à nous demander si nous ne le garderons pas, au moins l'été prochain? C'est certain que personne ne nous tordrait un bras pour aller faire de la voile au lac Champlain, dont nous n'avons même pas eu le temps de visiter tous les petits racoins. À suivre quoi...

C'est ce qu'on pourrait se demander en terminant un voyage comme le nôtre. Ou alors c'est ce que certains diraient peut-être en écoutant le récit de nos aventures : "Et puis, après?"



Et il faut dire que la question vaut la peine d'être posée. Car on considère souvent, sans vraiment s'y arrêter, que la vie n'est qu'une succession de projets avec l'espoir ultime d'avoir une retraite confortable en bout de piste. Je ne sais pas pour vous mais je trouve déprimante l'idée d'envisager la vie comme étant seulement le théâtre de nos projets ou de réalisations que nous alignons les uns à la suite des autres. Cela nous force tout d'abord à voir les choses d'un point de vue plutôt individualiste et, ultimement, cela nous empêche de réfléchir sérieusement à une autre question : À quoi est-ce que tout cela rime? Ou si vous préférez, le Grand "Pourquoi sommes-nous là?"

Mais cette question n'est pas très en vogue en 2012. Il y a évidemment les croyants, qui trouvent une explication à leur existence dans leur foi personnelle, et les athées, qui acceptent, en somme, de dire que la vie n'a pas de sens en soi. Mais il y a aussi un grand groupe de personnes qui ne désirent tout simplement pas se poser la question, sans doute parce qu'ils estiment plus prudent de ne pas prendre partie. Si la vie n'a aucun sens, pourquoi ne pas le dire haut et fort au lieu de donner des réponses évasives à nos enfants? Et si elle en a un, ne vaudrait-il pas la peine de consacrer notre vie à le chercher et à tenter de le comprendre. J'aime bien quand Ravi Zacharias écrit : "N'est-il pas étonnant que lorsque la vie semble dépourvue de sens, les poètes (en faisant référence à Jeau-Paul Sartre) et les artistes n'aient pas peur de plaider coupable, alors que les rationalistes dénoncent cette attitude et déploient toute leur éloquence sans grande raison?"1

Je suis personnellement du premier groupe, de ceux qui ont choisi de croire que tout ce que nous voyons, tout ce que nous sommes et tout ce que nous pouvons rêver et imaginer n'est pas le fruit du hasard aveugle. Que la matière n'est pas née du vide et que l'intelligence et l'amour ne sont pas les fruits de la simple chance. Et ma foi, ainsi que celle de ma famille, en est une en Dieu et en Jésus-Christ, qui a déclaré être lui-même le Fils de Dieu. Originalement une foi intellectuelle, notre expérience s'est enrichie de réponses aux prières et d'événements qui sont venus cimenter notre croyance.

De nos jours, on aime beaucoup le discours de Jésus et on aime bien le considérer comme un des plus grands penseurs et humanistes que la terre ait jamais porté. Mais Jésus ne s'est jamais présenté comme un simple enseignant et le choix que nous avons aujourd'hui est plutôt de le croire sur parole quand il nous dit qu'il est le Fils de Dieu, ou alors plutôt de le réduire au niveau du fou excentrique de qui l'ensemble des paroles ne devraient pas peser très lourd dans la balance. Même Bono, chanteur du célèbre groupe de musique U2, est d'accord sur ce point et l'a exprimé ainsi dans une entrevue qu'il a accordé au journaliste Michka Assayas2 :
"Look, the secular response to the Christ story always goes like this: he was a great prophet, obviously a very interesting guy, had a lot to say along the lines of other great prophets, be they Elijah, Muhammad, Buddha, or Confucius. But actually Christ doesn't allow you that. He doesn't let you off that hook. Christ says: No. I'm not saying I'm a teacher, don't call me teacher. I'm not saying I'm a prophet. I'm saying: "I'm the Messiah." I'm saying: "I am God incarnate." And people say: No, no, please, just be a prophet. A prophet, we can take. You're a bit eccentric. We've had John the Baptist eating locusts and wild honey, we can handle that. But don't mention the "M" word! Because, you know, we're gonna have to crucify you. And he goes: No, no. I know you're expecting me to come back with an army, and set you free from these creeps, but actually I am the Messiah. At this point, everyone starts staring at their shoes, and says: Oh, my God, he's gonna keep saying this. So what you're left with is: either Christ was who He said He was the Messiah or a complete nutcase. I mean, we're talking nutcase on the level of Charles Manson. This man was like some of the people we've been talking about earlier. This man was strapping himself to a bomb, and had "King of the Jews" on his head, and, as they were putting him up on the Cross, was going: OK, martyrdom, here we go. Bring on the pain! I can take it. I'm not joking here. The idea that the entire course of civilization for over half of the globe could have its fate changed and turned upside-down by a nutcase, for me, that's farfetched"
Maintenant, plusieurs livres font mieux l'apologie de la foi chrétienne que moi et je vous suggère de vous y référez si vous êtes intéressés à creuser le sujet (voir ma liste de suggestions au bas de ce billet). Pour ma part, je voulais faire un retour sur notre expérience et vous faire part de notre espoir pour la suite, en réponse à la question "Et puis après?"

Tout d'abord, vous devez savoir que, comme pour plusieurs des décisions que nous prenons en famille, nous avions mis ce projet devant Dieu en prière, lui demandant d'ouvrir ou de fermer les portes selon qu'Il voulait que nous allions de l'avant ou non. Les réponses plus qu'évidentes que nous avons reçues nous ont encouragé à aller de l'avant avec la préparation de ce voyage. Maintenant, pourquoi faire un tel voyage? Nous n'avons évidemment pas qu'une réponse à la question et comme la plupart de ceux qui entreprennent un tel projet, nous avions un mélange de raisons diverses et un certain goût de l'aventure. En tant que parents, nous espérions aussi que cela soit formateur pour nos enfants. Tout comme nous, ils ont été émerveillés à plus d'une reprises et testés lors de moments plus stressants. Il est évidemment difficile de faire un bilan en essayant de calculer l'impact d'une expérience sur le développement de leur caractère versus le scénario où nous ne serions jamais partis mais nous espérons qu'une bonne partie de ce qu'ils ont vécu cette année ira du côté positif de la balance de leur croissance.

Le voyage aura évidemment eu un impact négatif sur notre situation financière mais la plupart de ceux qui rêvent de faire un voyage comme ça comprendront que les bénéfices en croissance personnelle et l'investissement en temps consacré à la famille dépassent largement les pertes en argent. Si vous êtes en mesure de le faire en vous organisant pour que les dépenses soient comblées au fur et à mesure par un revenu d'appoint (par le biais d'un congé différé par exemple), alors c'est encore mieux. Mais si c'est la crainte de faire une erreur en ne mettant pas votre argent dans quelque chose de "sage", alors nous vous encourageons à aller de l'avant malgré tout. Ce n'est sans doute pas le conseil que vous donnerait un expert en investissement mais il y a des valeurs dont les gains n'apparaîtront jamais dans la colonne "profits" d'un livre comptable!

Et pour ce qui est de notre retour, et bien nous sommes excités à l'idée de découvrir ce que Dieu a en réserve pour nous. Nous revenons remplis d'espoir et excités de découvrir comment nous pourrons Lui être utiles et continuer de grandir en tant que chrétiens. Une des choses dont nous revenons convaincus est la nécessité et la joie d'appartenir et de s'investir au sein d'une communauté. Autant le voyage en famille a été agréable, autant nous sommes convaincus qu'il nous faut revenir et participer à la vie communautaire de notre société. C'est les communautés des pays que nous avons visités que nous avons aimé découvrir et nous croyons qu'il serait triste de ne pas faire nous-mêmes partie d'une communauté vivante et de n'être que des spectateurs des autres sociétés sur notre bateau.

Ne vous méprenez pas, si vous nous croisez dans la rue, nous ne vous paraîtront pas meilleurs que les autres et nous avons nos travers. Mais nous prions Dieu qu'il continue à nous faire croître en Lui selon le modèle qu'il nous a laissé en Son Fils, Jésus.

Nous avons beaucoup apprécié partager avec tous nos lecteurs les expériences que nous avons vécues cette année. Nous ne mettrons probablement plus ce blog à jour aussi souvent mais nous le conserverons, dans l'espoir qu'il soit utile à d'autres, et en souvenir de bons moments que nous aurons beaucoup de plaisir à nous remémorer...

Nous continuerons sans doute à nous intéresser aux équipages qui partiront pour un périple similaire ou plus long au cours des prochaines années et nous souhaitons à tous de vivre une aussi belle expérience que celle que nous avons vécue cette année!

Bon vent!



Quelques suggestions de lecture :

Nous croyons en Dieu: La foi évangélique pour tous, Jean-François Morin
La raison est pour Dieu (The Reason for God), Timothy Keller
Jésus et les divinités. Le message chrétien, un absolu?, Ravi Zacharias
L'homme sur le chemin d'Emmaüs, John R. Cross



1. Ravi Zacharias. Jésus et les divinités. Le message chrétien, un absolu?
2. Michka Assayas. Bono: In conversation with Michka Assayas.

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